Skip to main content
Le voyage de Marco Polo

Le voyage de Marco Polo

Current price: $24.18
This product is not returnable.
Publication Date: January 17th, 2015
Publisher:
Createspace Independent Publishing Platform
ISBN:
9781507600726
Pages:
236
Usually Ships in 1 to 5 Days

Description

En 1252, deux marchands v nitiens, Nicolo Polo et son fr re Mafeo, all rent Constantinople. Ils y achet rent des bijoux et d cid rent d'aller les vendre en Crim e. Ils all rent la cour du roi tartare Berka Khan et y rest rent un an. Une guerre les emp cha de rentrer. Alors ils all rent jusqu' Boukhara, en Asie centrale, o ils rest rent bloqu's trois ans. Un ambassadeur qui se rendait aupr's de Kubilai Khan fut surpris de rencontrer des Latins et les convainquit de l'accompagner aupr's du Grand Khan. Ils voyag rent un an avec lui, retard's par la neige et des inondations, et furent bien re us par Kubilai Khan. C' tait la premi re fois qu'il voyait des Latins. Il les interrogea sur leur pays et leur religion. Comme ils avaient appris la langue tartare, ils lui r pondirent longuement. Alors il les chargea d'une ambassade aupr's du pape. Il voulait qu'il lui envoie des gens capables d'enseigner la religion chr tienne ses sujets et qu'on lui rapporte de l'huile de la lampe du St S pulcre de J rusalem. Ils mirent trois ans pour retraverser toute l'Asie jusqu' la M diterran e. Il arriv rent St Jean d'Acre en avril 1269. L , ils apprirent que le pape Cl ment IV tait mort. Ils all rent voir le l gat Teobaldo Visconti, pr sent ce moment en Orient, pour lui rendre compte de leur mission. Il fut merveill de leur r cit mais leur demanda d'attendre l' lection d'un nouveau pape pour repartir. En attendant, ils rentr rent Venise. Nicolo apprit que sa femme tait morte mais qu'il avait un fils de quinze ans, Marco. Les Polo rest rent deux ans Venise. Apr's cela, les deux fr res se dirent que Kubilai Khan allait s'impatienter et qu'il fallait repartir. Ils emmen rent Marco avec eux. Ils retourn rent St Jean d'Acre, obtinrent un peu de l'huile du St S pulcre que d sirait Kubilai Khan en souvenir de sa m re qui tait chr tienne et retourn rent voir le l gat pour qu'il leur donne des documents prouvant qu'ils avaient rempli leur mission. Peu apr's, ce m me l gat fut lu pape sous le nom de Gr goire X. Un messager put les rattraper. Le nouveau pape leur adjoignit deux moines et leur donna des pr sents pour le Grand Khan. Les fr res Polo, Marco et les deux moines all rent jusqu'en Arm nie. Les guerres rendaient la r gion dangereuse. Les deux moines refus rent de continuer mais Nicolo, Mafeo et Marco continu rent leur chemin. Leur voyage dura plus de trois ans mais ils rejoignirent Kubilai Khan Kai-P'ing-Fu. Le Grand Khan les re ut avec joie. Les Polo lui remirent les messages du pape et l'huile du St S pulcre. Nicolo lui pr senta aussi son fils Marco. Ils rest rent ensuite la cour du Grand Khan. L , Marco apprit la langue et les usages des Tartares au point que le Grand Khan l'envoya en ambassade dans une r gion lointaine. Marco s'acquitta honorablement de cette mission. Il avait entendu le Grand Khan regretter que ses messagers soient incapables de lui rapporter des informations des provinces lointaines dans lesquelles il les envoyait. Il fut donc attentif ce qu'il voyait et donna beaucoup de renseignements int ressants au Khan son retour. Marco Polo demeura dix-sept ann es avec le Grand Khan et fut souvent envoy par lui dans des missions lointaines. Apr's tout ce temps, les trois Polo voulurent rentrer Venise, mais le Grand Khan refusait de se's parer d'eux. Mais il arriva qu'Arghoun, roi des Tartares du Levant, envoya au Grand Khan des ambassadeurs pour demander une nouvelle pouse. Pour leur retour, ils demand rent que les trois Latins les accompagnent. Le Grand Khan accepta contre coeur. Il remit aux Polo des messages pour le pape et les rois d'Europe et leur donna des pierres pr cieuses. En trois mois, ils arriv rent Sumatra. Dix-huit mois plus tard, ils arrivaient dans les Etats du roi Arghoun Au d part, l'exp dition comptait six cents personnes. Ils n' taient plus que d.

About the Author

Louis-Emile-Edmond Duranty est un romancier et critique d'art français, né le 5 juin 1833 à Paris, ville où il est mort le 9 avril 1880 (à 46 ans). Biographie Ses amis intimes pensaient que Duranty était le fils naturel de Prosper Mérimée[2]. Ce n'est qu'en 1947 que la découverte de documents ayant appartenu à Duranty a permis d'établir que son père était Louis-Edmond Anthoine[3], auditeur au Conseil d'État (1833), inspecteur de la compagnie d'assurances La Nationale, puis magistrat[4]. Sa mère, Émilie Hémart (Madame Lacoste 1798-1879, elle se fait appeler Émilie Duranty dans l'acte de naissance de son fils), a eu un fils - Félix-Joseph Lacoste (1825), de Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon Ier. Duranty a débuté en 1853 comme employé à l'administration centrale des Domaines et Forêts de la Couronne (grâce à la protection du ministre Achille Fould) et donné sa démission en 1857 pour se consacrer à la littérature. Il est le cofondateur de la revue Le Réalisme, publiée de juillet 1856 à mai 1957[5], un périodique à peu près mensuel, de seize compactes pages in-4°, très combatif, consacré à la seule critique littéraire [2], avec Champfleury, avec qui il défendra le mouvement réaliste et l'impressionnisme. En 1861, il obtient l'autorisation d'installer au Jardin des Tuileries un théâtre de marionnettes fixe; dont le peintre Courbet créera les décors. Il écrit même un répertoire complet dédié à George Sand, comportant vingt quatre saynètes ayant pour héros Polichinelle, Pierrot et Arlequin.